Diary of a slut

7. Train

Trop déprimée pour écrire ces derniers temps, mais là, j’ai fais quelque chose qui mérite d’être raconté ici !

Donc, comme vous le savez, les fêtes de fin d’année approchent à grands pas, et qu’est-ce qu’on fait quand on est étudiante à cette période de l’année ? On retourne voir sa famille, bien évidemment.

Me voilà donc partie pour environs 6 heures de trains… Et cette fois-ci (c’était il y a deux jours) il m’est venu l’idée de faire quelque chose qui ne m’étais jamais venue à l’esprit avant ; me masturber pendant le voyage.

Et dire que les gens me pensent tout le temps toute innocente...

En fait, je pense que cette idée m’est venue d’un film porno que j’ai regardé la semaine dernière dans lequel une femme se filmait dans l’avion, assise à sa place, alors qu’elle se touchait les seins et le minou.

Jamais de la vie je n’aurais osé le faire à ma place dans le train. En fait je crois que cette idée m’avait déjà effleuré l’esprit quand je vivais pas loin de ma tante, juste après que j’ai eu le bac. Je prenais souvent le train à ce moment là… Mais il me semble qu’il y avait des caméras de sécurité, donc de toute façon ça ne m’a jamais paru être une très bonne idée.

Donc, en l’occurrence, je me suis éclipsée dans les toilettes du train pour faire ma petite affaire. Je n’ai pas perdu de temps ; je me suis tout de suite assise sur la cuvette, les cuisses écartées et j’ai frotté mon clitoris jusqu’à ce que l’orgasme arrive. Je n’aime pas quand je dois faire les choses vites, mais je n’avais pas vraiment le choix, je ne voulais pas rester là dedans trop longtemps. Bon… Ce n’est pas comme si les gens allaient se douter de quoi que ce soit. Au pire on aurait sûrement pensé que j’avais une grosse diarrhée, mais quand même.

Je ne voulais pas salir mes doigts, mais plus le plaisir montait, plus je voulais sentir quelque chose à l’intérieur de moi. J’ai glissé deux doigts dans mon vagin et franchement, j’avais tellement envie de cet orgasme ! Le problème, c’est que comme je n’étais pas pleinement excitée et en plus un peu nerveuse, j’ai du agiter mes doigts et donc par extension ma main et mon bras assez longtemps et vivement avant de finalement atteindre l’orgasme.

Ma tête s’est remplie de fantasmes tous plus hard les uns que les autres, j’ai pensé à la contrôleuse que j’avais vu plus tôt, à des scénarios avec le personnel du train… Même avec le bras en feu et le clitoris endoloris, j’ai réussi à jouir, un peu difficilement mais ça en valait la peine.

Expérience à recommencer ! Dommage que je n’ai pas le courage de prendre plus de temps… Ça aurait été meilleur.